Des projections prévues au parc des Sablettes d’Alger: Du cinéma en plein air
L’initiative vise à dynamiser les activités culturelles pendant les vacances d’été 2025. L’objectif est d’encourager les familles à participer aux activités culturelles tout en transformant les espaces publics en véritables plateformes d’expression culturelle.
Le Centre national du cinéma et de l’audiovisuel a annoncé mardi le lancement d’un programme de projections cinématographiques en plein air au parc des Sablettes d’Alger, qui se déroulera chaque jeudi et vendredi soir durant les mois de juillet et août. Cette initiative culturelle s’adresse aux visiteurs du parc amateurs du septième art, dans le cadre d’une programmation estivale enrichie. Placée sous le slogan « Notre été… rassemblement et sécurité », cette manifestation propose deux films par soirée, l’un destiné aux enfants et l’autre au public adulte, avec des séances débutant à 21 heures. Le programme inaugural prévu ce jeudi présentera le long-métrage « Chroniques des années de braise » du regrettable réalisateur Mohamed Lakhdar-Hamina dans sa version restaurée récemment, accompagné du film jeunesse « L’Algérie, histoire et civilisation ». La soirée du vendredi offrira aux spectateurs le film « Patrouille vers l’est » d’Amar Laskri ainsi que « L’enfant d’Algérie » pour les plus jeunes. Cette programmation s’inscrit dans une démarche de valorisation du patrimoine cinématographique algérien tout en proposant un divertissement familial de qualité.
Organisée sous la tutelle du ministère de la Culture et des Arts, en coordination avec la direction des activités culturelles de la wilaya d’Alger et l’Office des parcs de sports et de loisirs, cette initiative vise à dynamiser les activités culturelles pendant les vacances d’été 2025. L’objectif est d’encourager les familles à participer aux activités culturelles tout en transformant les espaces publics en véritables plateformes d’expression culturelle, permettant aux citoyens de tous âges de redécouvrir des films emblématiques qui marquent la mémoire collective algérienne. Mohand Seghir
