Fonction : « écrivain » de lettres anonymes
N’allez surtout pas croire que je vise par-là la région de Skikda, Hacha li Allah. Non, je ne vise nullement les habitants de cette belle ville. D’ailleurs si c’était vrai, ils auraient écrit des tomes de tonnes de lettres anonymes pour dénoncer le manque d’eau courante, d’internet et de l’état de délabrement de la ville qui tombe en ruine et dont les débris empêcheraient le plus futé des auteurs de lettres de dénonciation sous couvert de l’anonymat de rédiger convenablement son écrit. Donc, qu’on délaisse la piste Skikda concernant les lettres anonymes dont la ville du 20 août 55 détiendrait le haut du classement national. Et puis anonyme ou pas les responsables de cette immense zone d’ombre ont d’autres poissons… pourris à vider à défaut de chat à fouetter notamment depuis que le « Raïs » a interdit la prise en considération des missives à l’auteur inconnu. Ça a d’ailleurs fait l’effet d’un tremblement de terre de magnitude 10 sur l’échelle de Richter. Ça a généré un taux de chômage que même la zone industrielle pétrochimique et le port de Skikda n’ont pu absorber tant ils sont submergés par la quantité de papier lettre toujours anonyme bien que cette fois-ci, c’est plus « justifié ». Cela concerne le travail, le comportement des responsables locaux, leurs amitiés, leur train de vie, leurs accoutrements, leur coupe de cheveux mais jamais le manque d’eau malgré l’existence de cinq barrages. Les gens sont tout de même responsables et surtout civilisées, ils écrivent… en juifs !