Le président ougandais entame une visite d’Etat en Algérie : Œuvrer à renforcer la paix et la prospérité en Afrique
Le président ougandais, Yoweri Museveni, est arrivé, hier à Alger, dans le cadre d’une visite d’Etat en Algérie qui durera jusqu’à mardi et ce, à l’invitation du président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Le président ougandais été accueilli, à son arrivée à l’aéroport international Houari-Boumediene d’Alger, par le Président Abdelmadjid Tebboune, accompagné des présidents du Conseil de la nation, Salah Goudjil et de l’Assemblée populaire nationale, Brahim Boughali, du Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, du Chef d’Etat-Major de l’Armée nationale populaire, le Général d’Armée Saïd Chanegriha, et de membres du Gouvernement.
Les deux chefs d’État ont ensuite eu des entretiens au salon d’honneur présidentiel de l’aéroport international Houari-Boumediene, en présence de hauts responsables des deux pays. Il est vrai que cette intervient dans le cadre de la dynamique de rapprochement et de renforcement des relations des coopération entre les deux pays qui ont affiché leur volonté commune d’œuvre au renforcer la coopération économique et à la paix et à la prospérité sur le continent africain. Il est vrai que l’Algérie et l’Ouganda opèrent un véritable rapprochement depuis quelques mois dans le sillage des visites des délégations de hauts responsables ougandais à Alger. C’est dans ce contexte que le ministre d’Etat ougandais chargé de la coopération régionale, John Mulimba, a effectué une visite de travail en Algérie au mois d’octobre dernier. Une visite qui avait d’ailleurs été sanctionnée par la signature d’une convention sur l’exemption mutuelle de visa pour les titulaires de passeports diplomatiques et de mission et d’un mémorandum d’entente sur la concertation politique entre l’Algérie et l’Ouganda. Le ministre ougandais avait également eu l’occasion de s’entretenir avec le président de la République, Abdelmadjid Tebboune et le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra. Des entretiens qui avaient d’ailleurs permis de souligner les convergences de vues entre de les deux pays sur de nombreuses questions économiques et politiques régionales et internationales, à l’image de la question du Sahara occidental. L’Algérie et l’Ouganda ont également affiché leur attachement aux principes du non-alignement et ont réaffirmé la nécessité de promouvoir davantage l’action africaine commune dans le cadre de l’Union africaine en vue de prémunir les pays africains des tensions actuelles dans les relations internationales et du climat de polarisation qui en résulte. Les responsables des deux pays ont ainsi convenu de renforcer la concertation et la coordination au sein des organisations internationales ainsi que du Mouvement des pays non-alignés, de même qu’ils se sont accordés à œuvrer à la consolidation du dialogue politique et de promotion du partenariat économique entre les deux pays.
Hocine Fadheli
ent ougandais, Yoweri Museveni, est arrivé, hier à Alger, dans le cadre d’une visite d’Etat en Algérie qui durera jusqu’à mardi et ce, à l’invitation du président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Le président ougandais été accueilli, à son arrivée à l’aéroport international Houari-Boumediene d’Alger, par le Président Abdelmadjid Tebboune, accompagné des présidents du Conseil de la nation, Salah Goudjil et de l’Assemblée populaire nationale, Brahim Boughali, du Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, du Chef d’Etat-Major de l’Armée nationale populaire, le Général d’Armée Saïd Chanegriha, et de membres du Gouvernement.
Les deux chefs d’État ont ensuite eu des entretiens au salon d’honneur présidentiel de l’aéroport international Houari-Boumediene, en présence de hauts responsables des deux pays. Il est vrai que cette intervient dans le cadre de la dynamique de rapprochement et de renforcement des relations des coopération entre les deux pays qui ont affiché leur volonté commune d’œuvre au renforcer la coopération économique et à la paix et à la prospérité sur le continent africain. Il est vrai que l’Algérie et l’Ouganda opèrent un véritable rapprochement depuis quelques mois dans le sillage des visites des délégations de hauts responsables ougandais à Alger. C’est dans ce contexte que le ministre d’Etat ougandais chargé de la coopération régionale, John Mulimba, a effectué une visite de travail en Algérie au mois d’octobre dernier. Une visite qui avait d’ailleurs été sanctionnée par la signature d’une convention sur l’exemption mutuelle de visa pour les titulaires de passeports diplomatiques et de mission et d’un mémorandum d’entente sur la concertation politique entre l’Algérie et l’Ouganda. Le ministre ougandais avait également eu l’occasion de s’entretenir avec le président de la République, Abdelmadjid Tebboune et le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra. Des entretiens qui avaient d’ailleurs permis de souligner les convergences de vues entre de les deux pays sur de nombreuses questions économiques et politiques régionales et internationales, à l’image de la question du Sahara occidental. L’Algérie et l’Ouganda ont également affiché leur attachement aux principes du non-alignement et ont réaffirmé la nécessité de promouvoir davantage l’action africaine commune dans le cadre de l’Union africaine en vue de prémunir les pays africains des tensions actuelles dans les relations internationales et du climat de polarisation qui en résulte. Les responsables des deux pays ont ainsi convenu de renforcer la concertation et la coordination au sein des organisations internationales ainsi que du Mouvement des pays non-alignés, de même qu’ils se sont accordés à œuvrer à la consolidation du dialogue politique et de promotion du partenariat économique entre les deux pays.
Hocine Fadheli
