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Relations algéro-chinoises : Une convergence sur le principe de non-ingérence étrangère

L’ambassadeur de la République populaire de Chine à Alger, Li Jian a affirmé mercredi organisé au siège de sa représentation diplomatique sur  la question de « Taïwan que les relations entre l’Algérie et la Chine « sont historiques et solides », fondées sur « la confiance et le soutien mutuel », avec le rejet par les deux pays de « toute forme d’ingérence étrangère dans les affaires internes des pays ». Le diplomate chinois a souligné les deux pays partagent aussi « le principe de non-ingérence des puissances étrangères dans les affaires internes des pays ». Il a également indiqué que l’Algérie et la Chine s’accordent également à « emprunter la voie du développement, conformément aux circonstances nationales de chaque pays » et à « approfondir le partenariat stratégique entre les deux pays », a ajouté l’ambassadeur chinois. « Plus de 183 pays ayant établi des relations avec la Chine adhèrent au principe d’une seule Chine », a-t-il souligné, rappelant le « rôle important » de l’Algérie pour permettre à la Chine de retrouver son siège légitime aux Nations unies en 1971. Pour sa part, le moudjahid, ancien diplomatie et président de l’Association internationale des amis de la Révolution algérienne, Noureddine Djoudi a déclaré que les relations entre l’Algérie et la Chine « sont profondes et remontent à l’époque de la guerre de libération », soulignant que l’Algérie « n’oubliera pas ses amis qui ont soutenu sa glorieuse Révolution ». Il a, en outre, salué le « haut niveau » atteint par le partenariat algéro-chinois dans tous les domaines. De son côté, le président du groupe parlementaire d’amitié Algérie-Chine à l’Assemblée populaire nationale (APN), Saïd Hamici, a affirmé que la position du Parlement algérien est « en parfaite harmonie avec les positions de l’Etat, sous la direction du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, sur tous les dossiers et questions internationaux », notant que ces positions découlent « de la Déclaration du 1er novembre 1954 et des convictions du peuple algérien ». Il a aussi salué « le niveau de coordination et de concertation » entre l’Algérie et la Chine, toujours traduit par « des positions sincères », notamment en ce qui concerne « la défense des causes justes ».

R.N.

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