Ça va cafeter au Panthéon !
« L’histoire des Harkis est grandiose, et elle est douloureuse … », dixit manu !
Pour être « grandiose », elle ne l’est pas autant que leur traitrise. Elle est même pire que celle des pauvres collabos, ils en paient le prix !
Enfer et damnation ! Le petit Manu est pris de la fièvre élyséenne où il veut encore habiter pendant cinq ans. Lui qui n’a connu d’autres guerres que celle des jeux vidéo sinon celle que lui raconte sa prof, la Brigitte, ne cesse de courir, excité comme un hurluberlu, entre le salon et le grenier de l’Elysée pour dépoussiérer les vieux jouets en bois, des petits harkis, qu’il s’est mis subitement à affectionner ! Il les adore au point même de leur offrir le piédestal du vieux salon présidentiel. Il promet de créer une loi « pour la reconnaissance et la réparation des soldats Harki et de leurs familles ». Macron compte leur réserver une place au Panthéon ! Un petit harki de bougnoule au Panthéon, juste entre Jean Moulin et Simone et Antoine Veil ? Ben oui, quoi, c’est quoi la différence si ce n’est que le premier est un résistant, les seconds des victimes et le petit là, lui, l’autre arabe n’est qu’un traitre à sa patrie et qu’auraient renié les deux premiers pensionnaires du Panthéon ! Mais bon, c’est vrai que ça va cafeter en français cassé à l’intérieur du monument. Mais, la France n’est-elle donc pas le pays de toutes les différences même les plus libertines… Où qu’il soit, un Judas est un Judas fut-il même le colonel Bendaoud !