Le poids de l’info
A croire ce qui se dit ici et là entre la Russie et l’Ukraine, il ne reste aux Russes qu’à abdiquer et à se rendre aux braves Ukrainiens. Je tremble à la place de Poutine et cherche d’ailleurs à me terrer quelque part chez moi sur les cimes de mon Aurès aimée. Mais je me suis ravisé sur les conseils d’un bon ami journaliste qui m’a expliqué qu’en fait c’est une guerre médiatique faite à coup de bluff, de fausses-vraies informations et de propagande guerrière. Ouf ! Hamdou li Allah, je respire. Il m’a fallu quand même du temps et l’aide de mon ami, je le rappelle, journaliste, pour comprendre les enjeux et la portée de l’information. Je me suis d’ailleurs même mis à m’intéresser de plus près aux médias « dyalna ». Eh ben, mes aïeux qu’est ce que je ne pas découvert ! J’ai appris que c’est là le dernier des soucis de certains et qu’en termes de propagande on ne sait même pas utiliser nos médias qui ne servent qu’à pomper de la pub de chez l’ANEP ! J’ai aussi appris toujours grâce au même ami journaliste qu’en cas de conflit, Allah yestour, l’ANEP, qui n’aura plus rien à dispatcher, disparaitra et peut-être avec elle ses médias privilégiés. Encore une fois, Allah yestourna car j’ai aussi appris que finalement dans ce genre de guerre, celui qui détient l’information et la traite bien, détient le pouvoir !