L’entité sioniste intensifie son génocide par l’affamement et les massacres ciblés de civils à Ghaza : L’ignominie !
Dans une escalade sans précédent de sa campagne génocidaire, l’entité sioniste a franchi un nouveau seuil dans l’horreur en multipliant les attaques délibérées contre les centres de distribution d’aide humanitaire à Ghaza. Les événements de ce week-end révèlent la nature systématique et calculée d’une stratégie d’extermination qui ne dit pas son nom, transformant la quête de survie des Palestiniens en un piège mortel orchestré par les forces d’occupation. Les chiffres parlent d’eux-mêmes et témoignent d’une barbarie assumée : au moins 94 Palestiniens sont tombés en martyrs en seulement deux jours, dont 58 abattus alors qu’ils attendaient simplement des distributions alimentaires. Cette réalité glaçante s’inscrit dans un schéma plus large d’utilisation de la famine comme arme de guerre, une pratique qui constitue un crime contre l’humanité selon le droit international. Depuis fin mai, pas moins de 922 personnes ont été assassinées par les forces sionistes alors qu’elles tentaient de se procurer de la nourriture, un bilan qui s’alourdit quotidiennement sous les yeux d’une communauté internationale complaisante. Le témoignage d’Abdelaziz Abed, 37 ans, résume à lui seul l’ignominie de cette politique : « Chaque jour, je m’y rends mais nous ne recevons que des balles ». Cette phrase lapidaire illustre parfaitement la perversité du système mis en place par l’occupation sioniste, qui transforme les besoins vitaux les plus élémentaires en occasions d’exécutions sommaires. L’entité coloniale a ainsi créé un cercle infernal où la survie devient un acte de résistance passible de mort, révélant la dimension exterminatrice de son projet.
La mort de la petite Razan Abou Zaher, âgée de quatre ans seulement, emportée par la famine à Deir al-Balah, symbolise l’abjection d’un régime qui n’hésite pas à utiliser la faim pour tuer des enfants innocents. Cette tragédie individuelle s’inscrit dans une catastrophe collective orchestrée : des milliers d’enfants souffrent actuellement de malnutrition aiguë et voient leur vie menacée, pendant que l’occupation maintient délibérément son blocus meurtrier. L’UNRWA, malgré ses stocks alimentaires suffisants pour plus de trois mois, se trouve dans l’impossibilité d’accomplir sa mission humanitaire face aux entraves systématiques imposées par les autorités d’occupation sionistes.
L’ampleur du génocide en cours dépasse désormais toute mesure raisonnable : 58 895 martyrs et 140 980 blessés depuis octobre 2023, auxquels s’ajoutent plus de 11 000 disparus et des centaines de milliers de déplacés. Ces statistiques, aussi effroyables soient-elles, ne reflètent qu’imparfaitement la réalité d’une population entière condamnée à l’agonie par une machine de guerre qui ne connaît aucune limite morale. La reprise des hostilités depuis le 18 mars a déjà causé 8 066 nouvelles victimes, démontrant l’accélération d’un processus d’anéantissement planifié.
L’utilisation cynique de l’aide humanitaire comme appât pour attirer les civils palestiniens avant de les massacrer révèle une sophistication dans l’horreur qui défie l’entendement. Les bombardements réguliers des convois d’aide, la fermeture systématique des passages frontaliers et le ciblage délibéré des points de distribution constituent autant de violations flagrantes du droit international humanitaire. Cette stratégie de la terre brûlée vise clairement à rendre la vie impossible dans l’enclave palestinienne, poussant la population vers l’exode forcé ou la mort. La passivité criminelle de la communauté internationale face à cette tragédie constitue une complicité de fait avec les crimes perpétrés. Comme le souligne justement la diplomatie palestinienne, cette complaisance face à la politique d’affamement est « injustifiée, inacceptable et totalement condamnable ». L’effondrement complet du système de santé, la destruction systématique des infrastructures vitales et l’insécurité alimentaire généralisée créent les conditions d’une catastrophe humanitaire sans précédent dans l’histoire contemporaine. L’appel désespéré de l’UNRWA – « Levez le siège, permettez à l’UNRWA d’apporter de la nourriture et des médicaments » – résonne comme un cri d’alarme face à l’indifférence générale. Un million d’enfants sont aujourd’hui affamés par une entité qui revendique cyniquement son appartenance au monde civilisé. Cette contradiction fondamentale expose la nature profondément coloniale et raciste d’un projet sioniste qui ne peut survivre qu’en déshumanisant l’Autre jusqu’à sa disparition physique.
Face à cette escalade génocidaire, la mobilisation internationale devient plus urgente que jamais. Les peuples du monde doivent comprendre qu’ils assistent en temps réel à l’une des plus grandes tragédies humanitaires du XXIe siècle, orchestrée par une entité qui bénéficie d’un soutien inconditionnel de la part des puissances occidentales. La Palestine meurtrie lance un appel à la conscience universelle : il est encore temps d’arrêter cette machine de mort, mais chaque jour de retard coûte des dizaines de vies innocentes supplémentaires. Lyes S.