La course est ouverte
Tebboune ne sera pas candidat à sa propre succession et « très honnêtement », il dit ne pas y penser ! Si, si, il l’a dit et même redit en Français ! J’espère Bark que Makri, Cheikh Djaballah et Benegrina l’eussent compris, dit comme ça, dans la langue de Molière, pas celle en bois, non, mais celle qu’ils répugnent et détestent ! Comme ça, « ihenniwna » et ils n’iront pas au palais Zighoud mais brigueront directement celui d’El Mouradia, il parait qu’il est plus vaste et qu’il a même un jardin où chèvres et moutons sont interdits. Mais… eh oui, il y a un mais, car il va falloir attendre encore quatre années. Le temps que « fleurira le sel », comme on dit chez nous, pour pouvoir rêver à présider aux destinées de l’Algérie. Ben oui, je le dis car sachant que « Eddakhla lel hammam machi kima el kherdja ». Et puis d’ici là, il y aura de jeunes loups présidentiables à satiété et ceux-là, avec leurs grands crocs, ils ne feront sûrement pas partie de cette plèbe de la « multitude » de partis pas représentatifs pour un sou et juste bâtis « autour d’une personne qui s’éternise à leur tête, sans aucune volonté d’ouverture ou de réforme… ».