On en perd la voix !
A chaque fois que je lis l’APS je reste sans « voie », je perds mes sens, mon odorat notamment et je ne sais pourquoi. Un milliard de questions me passe par la tête que je n’ai plus en entier et je ne cesse de me triturer l’esprit et ce qui me reste de méninges après l’attaque éhontée essuyée par le covid-19 qui m’a chopé et que j’ai vite transmis à ma femme. Et je tourne, tourne, tourne et tourne, jusqu’à hier en tombant nez à nez avec une info dispatchée par l’agence annonçant que « L’Algérie attachée au règlement des conflits par les voix pacifiques » ! Là, j’ai percuté, j’ai trouvé, Eureka ai-je failli dire ! Mon problème était simple finalement. Je confondais entre « la voix » et « la voie » et tout ça par la faute de la même agence qui ne fait que m’induire en erreur depuis quelques temps au point où mon cerveau a perdu le nord, ne répond plus à la voix de la raison et qu’il a cessé de m’orienter et de toujours me montrer la mauvaise voie à suivre. Oh, les gars, pitié, révisez donc votre français, relisez-vous et cessez de mélanger tout. La voix c’est pour parler, chanter ou même crier, la voie c’est le chemin à emprunter et n’allez surtout pas confondre « emprunter » avec taper ou taxer quelqu’un, non « emprunter » c’est suivre un chemin !