Medouar va présenter sa candidature
A l’heure actuelle, la Ligue de football professionnel (LFP) est gérée par Abdelkrim Medouar, dont le mandat olympique est terminé depuis plusieurs mois. Il travaille avec une dérogation que lui a délivré la Fédération algérienne de football (FAF) jusqu’à la tenue d’une assemblée générale élective. Celle-ci, selon les dernières informations en notre possession, qui aura lieu au mois d’octobre prochain.
Les mêmes sources nous font savoir que Medouar va présenter sa candidature pour sa propre succession, estimant qu’il a un travail à continuer afin de remettre plusieurs aspects sur rails. Il faut dire, dans ce sillage, que Medouar, et si certaines parties tentent de le décrier chaque fois que l’occasion se présente, fait l’unanimité au sein des présidents de clubs de la Ligue 1, avec lesquels il entretient de très bonnes relations. Il est, surtout, dit que l’ancien président de l’ASO Chlef a déjà évoqué ce sujet avec eux, et a eu leur aval pour le soutenir lors du prochain rendez-vous électoral. Ceci, en attendant la liste des autres candidats pour ce poste. A l’heure actuelle, aucune autre personne n’a déclaré publiquement son envie de succéder à Medouar, même si des noms circulent ici et là, comme les anciens membres du bureau de Medouar, à savoir Farouk Belguidoum et ArrèsHerrada, ou encore l’ex-président du Conseil d’administration de la SSPA de l’ES Sétif, Azzedine Arab. Autre nom qui a circulé, celui de l’actuel président du Club sportif amateur (CSA) de l’USM Alger, Saïd Allik, qui aurait l’appui du président de la FAF, Charaf Eddine Amara. Mais à l’heure actuelle, il ne s’agit que d’informations qui circulent ici et là sans la moindre confirmation de la part des concernés. Ceux-ci attendent, à priori, que tout soit clair concernant la date du prochain rendez-vous électoral pour voir plus clair. Ce poste est, certes, courtisé par plusieurs personnes, mais toujours est-il qu’il s’agit d’un poste miné, comme n’a cessé de le faire savoir Medouar, au même titre que son prédécesseur, Mahfoud Kerbadj, qui affirment qu’en manque de prérogatives, ils se trouvent confrontés à plusieurs problèmes sans pour autant arriver à les régler.
AbderrahimMahious