L’ami qui veut ma mort
« Celui qui n’est plus ton ami ne l’a jamais été » disait Aristote. Et le vieux penseur ne s’était pas gouré.
Prenez par exemple le vieil empire colonial, l’Europe. Oui, oui, celle qu’on appelle péjorativement « vieux continent » et ôter son droit d’ainesse à l’Afrique qu’on a surnommé le « continent noir » par esprit grégaire et raciste n’a jamais été un ami, encore moins sans notre gaz et nos richesses qu’elle n’a eu de cesse d’exploiter ! L’Europe, comme tout l’Occident, ne nous ont jamais considéré comme des amis, mais juste un grenier, car ils n’ont pas d’amis. Ils ont à peine des intérêts et ça on l’a appris à nos dépends.
Alors pourquoi donc l’UE cherche à nous en fourguer un « fourbe » et pourquoi vouloir coûte que coûte nous choisir nos amis ? Awww, s’hab bessif ! Ben non, l’Espagne, cet ami qui veut notre mort, a bien choisi les siens et grand bien lui fasse. Ne nous dites pas qu’en plus on doit admirer Zelensky même quand il chantait nu pour vous prouver notre bonne foi. De grâce non, on en mourrait. Vous avez besoin de notre gaz, on vous le vendra et basta, notre amitié, elle, elle va aux plus valeureux, aux plus fidèles, ceux qui ne risquent jamais de nous laisser au milieu du gué…