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Phase des poules des compétitions africaines interclubs : L’Algérie avec deux stades homologués

L’Algérie est représentée, cette année, par quatre clubs dans les deux compétitions interclubs. Il s’agit du CR Belouizdad et de l’ES Sétif, en Champions League, ainsi que la JS Kabylie et la JS Saoura, en Coupe de la CAF.

Les deux premières équipes ont assuré leurs qualifications pour le premier tour de la LDC, alors que les autres ont été exemptées du premier tour de la Coupe de la CAF. Jusqu’à l’heure, l’Algérie garde ce quota, mais risque de se retrouver devant un problème de taille. En effet, si ces représentants se qualifient jusqu’à la phase des poules, ils seront exposés à un problème de domiciliation. La Confédération africaine de football n’a qualifié que deux stades pour l’Algérie, à savoir celui du 5-Juillet d’Alger et Mustapha-Tchaker de Blida. Les autres enceintes, tels que le 8-Mai 1945, le 20-Aout d’Alger, le 20-Août de Béchar et le 1er-Novembre de Tizi Ouzou ne sont pas qualifiées. Les quatre équipes se voient, le cas échant, se partager deux enceintes seulement. Et il est à se demander sur quels critères cette décision a été prise, cette saison, alors que les stades de Tizi Ouzou ou de Sétif ont abrité des matchs de cette phase la saison dernière, et dans les deux compétitions. Il est à se demander, selon plusieurs avis, s’il ne s’agit pas d’un nouvel acharnement contre l’Algérie de la part des responsables de la CAF, quelques jours seulement après l’histoire du changement d‘horaires moult fois du match Niger – Algérie, du 12 octobre prochain, dans le cadre de la 4e journée des éliminatoires du Mondial-2022, au Qatar. Avant cela, ce match devait avoir lieu au Maroc, avant d’être reprogrammé à Niamey. Cette succession d’évènements met une seule personne dans l’œil du cyclone. Il s’agit du président de la Fédération algérienne de football, Charaf Eddine Amara, lequel se trouve dans une position peu confortable, ne savant plus d’où et par qui commencer. Les dossiers sont à la pelle, et l’homme semble être dépassé par les faits, surtout que ses proches collaborateurs ne l’aident pas comme il s’y attendait dans sa mission. 

Abderrahim Mahious 

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