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Gendarmerie nationale : Séminaire national sur « la défense alimentaire en Algérie »

Le Général, chef d’Etat-Major de la Gendarmerie nationale a présidé hier à l’Institut national de criminalistique et de criminologie relevant de la Gendarmerie nationale à Bouchaoui (Alger), la cérémonie d’ouverture d’un séminaire national sur « La défense alimentaire en Algérie: constats et perspectives ». Le Commandement de la Gendarmerie nationale a indiqué dans un communiqué que « l’ouverture de ce séminaire s’est déroulée en présence des représentants du ministère de la Défense nationale (MDN) et des ministères de l’Intérieur et des collectivités locales, de la Justice, de l’Industrie pharmaceutique, de l’Environnement, de la Communication, des Ressources en eau, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, du Commerce et de la Promotion des exportations et de l’Agriculture et du développement rural ». La rencontre a également été rehaussée par la présence des représentants du Centre de recherche scientifique et technique en analyse physico-chimique (CRAPC) de Bousmaïl, du Laboratoire centrale de la police scientifique relevant de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), du Centre national de toxicologie du ministère de la Santé et de la Direction générale des Douanes algériennes (DGDA) en sus des associations actives en la matière. Selon la même source, ce séminaire national « vise à faire le point sur la situation de la défense alimentaire en Algérie notamment en ce qui concerne les aspects juridiques, administratifs et techniques tout en mettant en avant les expériences et expertises des différents secteurs concernés, outre la consolidation des voies de coopération entre les différentes structures nationale ».

Et d’ajouter que cette manifestation scientifique « se veut une plateforme interactive en vue d’échanger les expertises et d’unifier les points de vue et les procédures pratiques et scientifiques, mais vise aussi à créer un espace de coordination et de partage des meilleures pratiques entre tous les acteurs avec la mise en place de mécanisme efficaces, partant des textes juridiques jusqu’aux laboratoires, et ce pour faire face à tous les dépassements et les pratiques qui pourraient porter atteinte aux produits alimentaires et leurs séquelles sur la sécurité publique, en général, et la santé publique en particulier ».

APS

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